vendredi 23 août 2013

- Pourquoi continuer à se battre pour la démocratie ?

- Parce que ceux qui marchent pour les lois s’arment pour faire respecter les lois.
(Ils ne se battent pas, ils exécutent les ordres avec plus ou moins de rigueur)


Qu’elles soient lois de justice ou bien lois d’injustice,
ce sont les armes qui gagneront, et la mort régnera.

FIN

samedi 20 juillet 2013

La nouvelle France


Liberté, égalité, fraternité
La célèbre devise française est le point de départ du nouveau royaume de France, devenu un Empire puis une République, le royaume de France s’est séparé de la royauté et de ses rois. Se raffermissant dans les limites de ses territoires, le pays n’a jamais été aussi stable. Aujourd’hui, seuls femmes et hommes recherchent toujours une stabilité matérielle. La France étant stable matériellement, elle est pourtant constituée d’un peuple très diversifié qui est, lui, sans futur. Nous  ne pouvons pas planifier l’avenir des Français car les options sont trop nombreuses pour que les événements puissent être prévisibles.

La démocratie en France fait beaucoup de malheureux car une démocratie composé de chefs n’est pas une vraie démocratie. Nous pensons que si nous établissons une démocratie, nos chefs seront démocrates. Je pense que c’est une erreur ! Peu importe le nom que nous proposerons pour le chef (président, roi, représentant du peuple, élu, empereur, etc.), celui-ci restera à l’image d’un Roi de France un monarque représentant l’autorité, un être supérieur au peuple, un guide qui n’a pas besoin de démocratie pour gouverner, mais d’un peuple et un quotidien protocolaire. La réalité d’aujourd’hui, c’est que les chefs se sentent le devoir d’assumer un quotidien tiré à quatre épingles pour penser intérieurement être digne de représenter le pouvoir.

La Démocratie est faite pour fonctionner sans aucun chef, d'où la devise Liberté, égalité, fraternité. Elle est pleine de bons sens ici mais, est-il facile d’appliquer dans notre monde une telle philosophie ?
    -Non.

 Je pense que notre imagination nous a joué des tours. Nous avons, depuis longtemps déjà, dépassé la réalité par le virtuel. Nous ne sommes plus au stade de la révolution Française de 1789, mais nos fondements sont toujours très proche du Royaume de France de cette époque qui a été remis en question durement par des personnes qui avaient une réelle ambition.

Par contre, nous ne pouvons plus avoir une ambition débordante, de conquête, d’intelligence, de confort. Parce que si nous continuons dans le sens d’une vraie démocratie, nous allons d’avantage vers la sagesse, plutôt que vers la suprématie, l’excellence.

Si je décrie aisément un Français comme étant de qualité moyenne, actif, heureux, amical, j’ai des difficulté à le décrire comme libre, égal et frère. En fait pour adapter Liberté, égalité, fraternité il faut broder autour pour dissimuler l’influence royaliste de cette devise qui se veut le fondement de la démocratie.

Il ne faut pas que cette devise soit un but. Ceux qui la comprennent savent que c’est un idéal. Alors, que faut-il ? Il faut mettre en valeur les œuvres du passé. Il faut juger les œuvres si elles sont belles. Il faut protéger et entretenir ce que nos parents ont fait. Le mal, ça se pardonne, le bien se glorifie ! L’instinct grégaire des suites d’un malheur, il faut l’entretenir aussi, même si on en oublie l’origine. Ce sont les traditions, ce sont les religions.

Regardez un exemple qui fonctionne bien : l’association.

Pour moi, l’association est la véritable organisation démocratique qui fonctionne, mais pourquoi ?
- Elle est vue par tous comme une démocratie symbolique, elle est hiérarchisé à la manière d’une monarchie (roi - vassaux, président – membres), sauf que nous n’accordons aucune valeur aux titres. Dans l’esprit d’une association, le président de l’association n’a pas plus de valeurs que les autres. C’est simplement qu’il en faut un, c’est marqué dans les textes de loi. Cet état d’esprit assez spécifique aux associations montre que nous nous soumettons aux lois, sans penser réellement que celles-ci sont juste.
On a oublié l’origine des lois qui régissent l’association, mais nous les appliquons sans même nous poser de questions.

Ceux qui sont à l’origine de la démocratie se sont positionné en tant que citoyens supérieur au roi. Supérieurs en intelligence, puis en pouvoir. À leur tour, ils sont devenu des rois sans en posséder le titre officiel.

La France n’est peut-être pas encore prête à la démocratie. Sur le royaume de France, nous avons refait les peintures et re-décoré dans un style République Française. Mais nous fonctionnons toujours de la même façon. Depuis 1789, la tendance est la même, la tendance est de réduire le pouvoir du chef. Par contre, le chef se défend toujours pour garder le pouvoir, c’est la nature de l’homme.
Le malaise est là, le peuple le subit mais ne le comprend pas. Dans l’idéal d’un chef, c’est que son peuple soit soumis à ses lois sauf que nous sommes dans une démocratie, et que dans une démocratie, le chef n’a plus de place légitime. Or nous assistons à une multiplication des chefs. (chefs de partis politique, de religions, d'entreprises, présidents d'associations, de département, de région...) Comment peut-on écouter des députés quand on a des milliers de présidents qui parlent, ce sont des présidents de pacotilles, des fruits pourris sur un plateau d’argent. Cela me répugne !

Comment une action peut être mené :
-S’intéresser à des personnalités réellement intéressante.
Si les présidents sont ridicules, ils ridiculisent la France, ils ridiculisent le peuple (Français comme étrangers). La presse peut mettre en valeur une personnalité. Je ne met pas toute ma confiance en la presse car elle est en contact permanent avec ces présidents de pacotilles qui cherchent par tous les moyens, à se montrer. Aussi, c’est très difficile de faire un travail de journalisme en toute objectivité.
-Parler de choses et de personnes qui valorisent. Être plus proche du Président de la République dans ses faits et gestes, une chaîne de télévision publique peut le faire en suivant quelques heures par jours la personnalité Française la plus importante dans le monde. Pour que le Président de la République soit reconnu comme personnalité importante aux yeux du monde. Une personnalité qui aie seulement les qualités nécessaires à la fonction, mais qui soit considérée comme faisant partie du peuple sans en être réellement un chef, parce qu’une démocratie considère que nous sommes chacun responsable de notre vie et que la société nous rend responsable d’une fonction pendant une période bien définie, comme un président de la République est responsable de la présidence de la République Française pendant cinq ans.

Comprenez-vous bien que nous avons envie d’un président que nous aimons. Il faut renoncer à cela car c’est aussi le fondement d’une royauté. Un élu aimé de tous est déjà un être supérieur et dans une démocratie, ce n’est pas une raison valable pour en faire un chef. Par contre si une démocratie veut durer, elle ne doit pas se mettre dans l’opposition de personnalités ambitieuses. Par exemple, les entreprises : elles ont bien souvent un chef et une hiérarchie. Une entreprise qui fonctionne est un organisme indépendant qui n’a pas de lien direct avec une démocratie. Les entreprises sont les organismes les plus stables dans la société. Les états les utilisent pour se stabiliser aussi. Les états prennent modèle sur les entreprises, mais les états ont trop tendance à les utiliser comme bouées de sauvetage.

A la différence d’une royauté, la démocratie a un but de stabilité. Une royauté est sans cesse remise en cause à chaque changement de roi.

Beaucoup de chefs ont raisons mais en démocratie, la seule position d’être chef donne tort !

-Tort de s’exprimer en public.
-Tort de s’affirmer en tant que représentant du peuple.
-Tort de défendre une valeur indéfendable : la démocratie.

vendredi 19 juillet 2013

La démocratie, qu'est-ce que c'est ?

Être prêt à écouter n'importe qui, du moment que la personne s'exprime.

vendredi 17 mai 2013

Le régime de France : deuxième étape

- L'ÉCOLE DU FER -

L'école du "faire" remplacerais bien l'école du "savoir".

Cette école fonctionnerais sur le principe qu'il faut vivre pour travailler.

Pour tous, le travail n'est pas toujours un plaisir. Il est vrai que le savoir est facile à acquérir (le savoir est ce qui à été découvert, le savoir n'est pas un mystère) Moi, je ne cherche pas à en savoir plus, j'en sais déjà assez, et puis j'ai peu de mémoire, donc mon savoir évolue sans cesse. Il existe des personnes à la mémoire extraordinaire, et pour les autres, il y a les livres qui sont une forme de mémoire en plus d'être des objets. Mon plus gros livre, c'est un Apple, il contient des milliards de pages, c'est une merveille technologique. Il faut continuer à faire de bons livres, apprendre à les fabriquer, à les entretenir, à les faire fonctionner correctement. Par rapport à certains, j'ai peu de savoir, mais cela ne m'empêche pas de vivre bien. Par contre je suis très intelligent... Le "savoir" est facile à acquérir alors que le "faire" nécessite de lutter contre la fainéantise... la pauvreté.

Par exemple : L'école du fer peut être une école de vie, d'où découle la technologie.
De l'école du bois découle la menuiserie.
De l'école de la pierre découle la maçonnerie.
De l'école de la terre découle l'architecture.
De l'école du papier découle l'écriture.
...

Le travail me manque.


- L'EAU DE LA LIBYE -

Depuis quelques temps la Libye est un pays qui a soif, la population cherche de l'eau (elle a surtout trouvé du pétrole, des dollars et d'autres problèmes).

Certains Européens les ont aidé, mais ils n'ont pas encore trouvés.

Je pense qu'ils vont trouver, et je préconiserais la construction de réservoirs tels des rivières et des lacs sous-terrains. Des réservoirs construits comme le sont les chemins de fer, développeraient la richesse.

L'exemple de l'Iran, un pays qui devient riche malgré le terrorisme des états-unis d'Amérique, montre que des barrages construits en plein milieu du désert, améliorent la vie.

L'eau me manque.